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PANAMA 1930-1966 1/10 Balboa-2 1/2 Centesimos Silver - Lot of 8 Diff. Dates

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PANAMA 1904 2.5 CENTESIMOS VASCO NUNEZ DE BALBOA PILL SILVER WORLD COIN

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PANAMA 10 CENTESIMOS DE BALBOA VASCO NUNEZ BUST 90% SILVER WORLD COIN 1904
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République du Panama[1]

República de Panamá

Drapeau
Drapeau du Panama
Blason
Armoiries du Panama
Description de l'image Panama (orthographic projection).svg.
Devise nationale (la) Pro Mundi Beneficio
(Pour le bénéfice du monde)
Hymne national Hymne de l’isthme
Administration
Forme de l'État République
Président Juan Carlos Varela
Langues officielles Espagnol
Capitale Panama

8° 58′ N 79° 32′ O / 8.967, -79.533

Géographie
Plus grande ville Panama
Superficie totale 75 420[2] km2
(classé 118e)
Superficie en eau 2,9 %[réf. nécessaire]
Fuseau horaire UTC - 5
Histoire
Indépendance De la Colombie
Déclarée 3 novembre 1903
Démographie
Gentilé Panaméen,
Panaméenne
Population totale (2014) 3 608 431[2] hab.
(classé 131e)
Densité 47,8 hab./km2
Économie
PIB nominal (2011) 30,6 milliards de USD[2] (71e)
PIB (PPA) (2011) 50,25 milliards de USD[2] (85e)
IDH (2011) en augmentation 0,768[3] (élevé) (58e)
Monnaie Balboa (PAB​)
Divers
Code ISO 3166-1 PAN, PA​
Domaine Internet .pa
Indicatif téléphonique +507

Le Panama ou Panamá, en forme longue la République du Panama[1] (en espagnol : Panamá et República de Panamá), est un pays de 75 420 km2 situé à l’extrémité sud de l’Amérique centrale, sur l’isthme de Panama. Il est limitrophe du Costa Rica et de la Colombie, dont il faisait autrefois partie. Le pays est peuplé de 3 608 431 habitants en 2014.

Le canal du même nom, canal de Panama autrefois américain, est aujourd'hui une source majeure de financement pour l'État panaméen. Une des spécificités du pays au niveau politique est qu'il ait renoncé à avoir une armée puissante[4] au profit de la protection de son environnement ; c'est aussi le pays dont la plus grande proportion est couverte par des parcs naturels nationaux.

Histoire[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Histoire du Panama.

Prise de Panama (1671) Les fortifications et le nombre de défenseurs de la ville sont plus nombreux que les troupes pirates. Ce désavantage n’empêcha pas l’équipage de s’emparer de la ville et de la piller. Le butin de Morgan se serait élevé à plus de 120 000 euros. La ville mise à feu et à sang par les flibustiers obligea les Espagnols et les survivants de cette ville à s’établir quelques milles plus loin. À la fin de la prise de Panama, Henry Morgan déserte son équipage avec une majeure partie du butin[5].

Dès le début du XVIe siècle, l’isthme fut colonisé par l’empire espagnol qui y ouvrit de grandes routes marchandes pour l’or et l’argent du Pérou. Par conséquent, cet emplacement était très bien gardé et fortifié contre les possibles attaques des flibustiers, pirates et autres menaces d'envergure. l'Espagne et l'Angleterre n'avaient pas une bonne relation puisque l'Espagne avait une majeure partie du Nouveau Monde les empires européens comme l'Angleterre voulaient prendre des territoires espagnols. C'est pour cela que les deux empires ont fait un traité afin de réduire considérablement les hostilités dans leurs colonies du Nouveau Monde. Ce traité se nomme : Le traité de Madrid (1670) ou le traité de Godolphin. Comprise dans la vice-royauté du Pérou puis rattachée à celle de Nouvelle-Grenade, la région fit partie de la Grande Colombie après la séparation de l’Espagne en 1821[6].

Après plus de 3 ans de guerre, un groupe d’indépendantistes discrètement soutenus par les États-Unis déclara l’indépendance du Panama de la Colombie le 3 novembre 1903 et la souveraineté des États-Unis sur le canal de Panama (dont la construction fut commencée en 1881 sous l’impulsion de Ferdinand de Lesseps et qui fut inauguré en 1914), par un accord à perpétuité signé la même année.

Cette construction donna lieu, en France, à un scandale politico-financier.

Articles détaillés : Guerre des Mille Jours et Scandale de Panama.

De nombreux troubles sociaux et politiques agitèrent cette république qui connut des régimes plus ou moins autoritaires.

Le général Omar Torrijos renégocia en 1978 l’accord sur la zone du canal (Traités de Torrijos-Carter). À sa mort en 1981, le général Manuel Noriega, commandant la garde nationale (qui fut à une période rémunéré par la CIA[7]), s’est mis, dans les faits, à contrôler le pouvoir en accentuant le caractère populiste, nationaliste et très anti-américain de sa politique. En juillet 1987, les États-Unis ont tenté d’obtenir l’extradition de Noriega, pour trafic de drogue, puis ont soumis le pays à des sanctions économiques. Noriega, en dépit d’une opposition civile vigoureuse, s’est maintenu au pouvoir avec l’aide du Japon intéressé par la construction d’un nouveau canal, jusqu’à l’opération Just Cause lancée en décembre 1989 par l’armée américaine pour le capturer. Il est ensuite remplacé par Guillermo Endara, son concurrent à l'élection présidentielle de 1989, que Noriega avait annulée.

La Zone du canal de Panama fut rendue au Panama le 31 décembre 1999, suite aux Traités de Torrijos-Carter. Depuis le 22 octobre 2006, les Panaméens ont décidé d’agrandir le canal, pour faire face à la hausse du trafic et rester compétitifs sur le transbordement.

Politique[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Politique au Panama.

Le Panama est une république parlementaire. Le vote est accordé à tous les citoyens de plus de dix-huit ans[8]. Il n’est pas obligatoire de voter.

Le Président de la République, les membres du parlement ainsi que les vice-présidents sont élus par le suffrage universel direct pour une durée de cinq ans.

L'actuel président de la république panaméenne est Juan Carlos Varela.

Les membres du gouvernement sont nommés par le Président. Le parlement est monocaméral, seulement composé d'une Assemblée nationale.

Pour ce qui est de l'autorité judiciaire, dix juges composent la Cour suprême de Justice pour une période, cette fois, de dix ans. Le pouvoir législatif n’est exercé que par une seule chambre, renouvelée tous les cinq ans. Elle compte 72 sièges. La division du pays est en 9 provinces, 3 territoires (autonomes) indiens et 74 municipalités.

Provinces[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Provinces du Panama.

Le Panama est divisé en neuf provinces et cinq comarques (territoires autonomes indigènes).

Les neuf provinces sont : Bocas del Toro, Chiriquí, Coclé, Colón, Darién, Herrera, Los Santos, Panama et Veraguas.

Les cinq comarques sont : Emberá, Kuna de Wargandí, Kuna de Madugandí, Ngöbe-Buglé et Guna Yala (San Blas).

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat du Panama peut être défini comme tropical, les températures nocturnes sont comprises entre 21°C et 25°C, contre 28°C à 34°C en journée; tandis que l'humidité reste comprise entre 50% et 90%. Les reliefs de la côte caribéenne sont en moyenne, plus exposés aux précipitations que ceux de la côte pacifique. Les pluies abondantes (1100-3600mm par an) et l'humidité toujours élevée, participent au développement d'une flore luxuriante sur l'ensemble du territoire panaméen.

Géographie[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Géographie du Panama.
Image satellite du Panama.

Le Panama est un pays d’Amérique centrale, entouré par la mer des Caraïbes, l’océan Pacifique, la Colombie et le Costa Rica.

Le Panama est traversé par le canal de Panama. Ce pays a une superficie d'environ 75 420 km2[2], ce qui est comparable à un peu moins du dixième de la superficie du Chili. Le Panama, par sa situation dans l’isthme reliant l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud, occupe une situation stratégique.

Axes de communication et transports[modifier | modifier le code]

Canal de Panama[modifier | modifier le code]

Un canal interocéanique long de 79,6 km qui traverse le pays, du Nord au Sud, et permet d’aller par bateau de l'océan Atlantique via la mer des Caraïbes à l’océan Pacifique et inversement, sans contourner l’Amérique du Sud par la Terre de Feu au sud du Chili. Il offre un gain de temps considérable pour les transporteurs maritimes, le trajet durant de huit à dix heures. Ce canal est composé de trois jeux d’écluses :

  • Les écluses de Miraflores qui comportent deux chambres inversées ;
  • Les écluses de Pedro Miguel qui se compose d’une seule chambre ;
  • Les écluses de Gatún qui comportent trois chambres dénivelées.

La construction du canal a débuté en 1881. Le projet est alors une initiative française après le succès du canal de Suez.
En 1888, les travaux s’arrêtent en raison des problèmes financiers de la Compagnie universelle qui exploite le canal.
Ce n’est qu’en 1914, après reprise des travaux en 1904, que le canal peut ouvrir. Le premier navire à passer le canal est alors le SS Ancon.

Les États-Unis exploitèrent ensuite les droits du canal, sur une zone large de dix miles de chaque côté du tracé du canal, avec le traité de Panama, et ce, malgré l’indépendance du Panama signée avec la Colombie en 1903. En effet les travaux avaient repris grâce à la pression américaine qui avait aussi contribué à la révolte du Panama envers cette même Colombie.

En 1978, le Panama a repris le contrôle de la concession grâce aux multiples interventions du général au pouvoir, Omar Torrijos.

Chemin de fer[modifier | modifier le code]

La seule voie de chemin de fer existante au Panama est la ligne de la Compagnie des chemins de fer du canal de Panama (en) qui longe le canal du port de Balboa au port de Colon.

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La Transaméricaine qui traverse le pays sur toute sa longueur est la colonne vertébrale routière du pays sur laquelle viennent se greffer les routes secondaires allant soit vers le Nord, soit vers le Sud. Goudronnée en grande partie, elle est cependant à bien des endroits particulièrement défoncée. En 2012, la partie allant du Rio Chepo à la Colombie en passant par le Darien n'était pas goudronnée.

À l'exception de quelques routes très utilisées qui sont goudronnées comme:

Le reste réseau routier secondaire est dans un piteux état ou non goudronné.

Frontières terrestres[modifier | modifier le code]

Les frontières terrestres sont d'une longueur totale de 555 km

Frontières maritimes[modifier | modifier le code]

Le Panama est baigné par l'océan Atlantique au Nord et l'océan Pacifique au Sud. La longueur des côtes du Panama est de 2 490 km.

Économie[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Économie du Panama.

Le Panama possède la plus puissante économie d'Amérique centrale[9]. Le pays doit principalement son essor économique au Canal de Panama. La ville de Panama est le plus important centre financier d'Amérique centrale. D'autre part, la taxation y étant faible, le Panama est classé comme un paradis fiscal par d'autres pays. Le PIB par habitant, de 13 000 dollars (estimation 2010)[2], est également le plus élevé de la région. Le pourcentage du PIB consacré à l'investissement était de 26,8 %[2] du PIB en 2010. Celui consacré à l'éducation était de 3,8 %[2] en 2008 et le pourcentage du PIB consacré à la défense était de 1 %[2] du PIB dans les dépenses militaires en 2008.

Les services occupent une grande place dans l’économie du Panama. Les principales activités sont les services financiers, le commerce et le tourisme. Pour ce qui est des principaux produits du secteur primaire du Panama ils sont ; les bananes et autres fruits, le riz, le maïs, le café, le sucre de canne, le bétail, les légumes, le bois de construction et les crevettes. Ce pays contient des ressources naturelles limitées telles que le cuivre et l’or. Chaque année, il y a 1 050,6 milliers de tonnes de bananes produites au Panama. En 2008, 29,96 % des terres du Panama constituent des terres arables agricoles. Puis, 7,36 % des terres panaméennes sont des terres arables. Tandis que le secteur secondaire du Panama est caractérisé par l’industrie. Les industries les plus prospères sont celles où l’on retrouve les matériaux de construction ; tel que le ciment et la fabrication de meubles, ainsi que la préparation des aliments, de produits laitiers, le raffinage du sucre, la fabrication de vêtements, les produits pétroliers, les produits chimiques, les papiers et tout autre produit de papier puis l’impression. La restitution de la zone du canal, contrôlée par les États-Unis jusqu’en 1999, a encouragé le lancement de nouveaux projets. Panama fait partie des pavillons de complaisance.
Le 22 octobre 2006, les Panaméens ont décidé par référendum d'élargir le canal afin de rester compétitifs dans le trafic de marchandises. D’après l’ACP (organisme qui gère le canal) les retombées économiques générées seront énormes. Cet agrandissement à un jeu de trois écluses s’imposait car le trafic de conteneurs est en constante augmentation, de plus les deux canaux ne pouvaient plus absorber le flux incessant de navires. Cet élargissement va permettre aux bateaux à fort tirant d’eau et à grand tonnage de ne plus faire de détour et donc de gagner du temps, cet élargissement permettra un gain de temps énorme, ce qui permettra d’engranger plus de profit. Du côté panaméen, cela va engendrer la création de près de quarante mille emplois directs et indirects et permettre à la population de ce pays, dont 40 % vit sous le seuil de pauvreté, de profiter de la manne économique. Cela peut aussi influer sur la région où les investisseurs pourront trouver des conditions avantageuses à leur installation, de trouver des taux d’impositions faibles et pourquoi pas profiter d’une zone franche comme on en trouve à la frontière sud des États-Unis. De plus, un troisième élargissement est déjà prévu pour faire face à la hausse du trafic et pour rester compétitif.

La monnaie est le balboa. Seules les pièces circulent, la monnaie papier est le dollar des États-Unis.

En 2011, la part des principaux secteurs d’activités dans le PIB est de :

  • secteur agricole : 4,3 % du PIB ;
  • secteur industriel : 16,6 % du PIB ;
  • secteur des services : 79,1 % du PIB[2].

Les principales productions du Panama sont (agriculture) : bananes, riz, maïs, café, sucre de canne, légumes ; animaux de ferme ; crevettes[10]

Les principaux partenaires du Panama pour ce qui est des exportations sont : États-Unis 45,9 %, Suède 8,1 %, Benelux 5,3 %, Costa Rica 5,1 %[10]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution de la démographie entre 1961 et 2003 (chiffre de la FAO, 2005). Population en milliers d’habitants.
Article détaillé : Démographie du Panama.

Le pays compte 3 608 431 habitants en 2014 dont environ 1,426 millions habitent la capitale même[2].

En 2010, le taux de croissance annuelle était de 1,463 %[2], le taux de natalité était de 19,17 pour 1 000 habitants et le taux de mortalité était de 4,62 décès pour 1 000 habitants[2].

La population du Panama est originaire principalement des colonisateurs Blancs et d'esclaves provenant d'Afrique subsaharienne. La population du Panama est très métissée : 70 % de la population panaméenne est métis principalement mulâtre. Les Noirs qui descendent d'esclaves africains representent 12 % de la population. 10 % de la population sont Blancs. Entre 12 et 9 % de la population est amérindienne, les principales tribus indigènes au Panama sont les Guaymí (Ngäbe), les Kuna, les Emberá, les Buglé (Bokota) et d'autres tribus minoritaires[2].

Culture[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Culture du Panama.

L’espagnol est l'unique langue officielle du pays, legs de la colonisation espagnole, mais une partie importante de la population maîtrise également l’anglais, du fait des liens très étroits, tant politiques qu'économiques, entretenus avec les États-Unis. Les Espagnols ont converti les indigènes et les esclaves africains et leurs descendants au catholicisme, aujourd’hui encore très présent. Cependant des restes de religion indigène ou africaine existent toujours. Le Panama compte de nombreuses danses d’origine africaine.

Les Panaméens font une semaine de carnaval qui se termine la veille du mercredi des Cendres premier jour de carême.

Chaque année, le 4 novembre, les Panaméens fêtent leur drapeau (Dia de la bandera), symbole de leur indépendance d'avec la Colombie. Ce jour-là, on peut observer des défilés dans les grandes villes du pays, constitués de multiples Bandas (groupes) de tipico (musique traditionnelle du Panama), ainsi que de troupes de danse traditionnelle panaméenne vêtues de la pollera.

Divers[modifier | modifier le code]

Le Panama a pour codes :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b La graphie du nom du pays varie en français : on trouve aussi les noms Panamá et République du Panamá, mais aussi République de Panamá (Robert des noms propres).
  2. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m et n (en) CIA World Factbook
  3. (en) Statistiques du PNUD
  4. « Congreso Decide Abolir Ejército En Panamá » (consulté le 14/9/10)
  5. Guttman, Robert [s.d.]. « Henry Morgan: The Pirate Who Invaded Panama in 1671 », dans Military History magazine, http://www.historynet.com/henry-morgan-the-pirate-who-invaded-panama-in-1671.htm (consulter le 18 septembre)
  6. Université de Laval [s.d]. Panama http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amsudant/panama.htm (consulté le 18 septembre)
  7. Larry Collins, Les Aigles Noirs, Robert Laffont,‎ 1993, 505 p. (ISBN 2-221-06833-5)
  8. Constitution de la République du Panamà, Titre IV Droits politiques, Chapitre I De la citoyenneté, Article 131, Sont citoyens de la République tous les Panaméens de plus de dix-huit ans sans distinction de sexe
  9. http://www.lejournalinternational.fr/Panama-un-paradis-autre-que-fiscal_a1664.html
  10. a et b http://www.studentsoftheworld.info/infopays/wfb_fr.php3?CODEPAYS=PAN

Annexes[modifier | modifier le code]

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Panama.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Garibay, David, Médina-Nicolas, Lucile, Vieillard-Baron, Alain, [s.d.]. site Universalis, « Panama » (consulté le 18 septembre)
  • Guttman, Robert [s.d.]. « Henry Morgan: The Pirate Who Invaded Panama in 1671 », dans Military History magazine : Henry Morgan (consulté le 18 septembre)
  • Larousse [s.d.]. Encyclopédie du Petit Larousse, « Panama » (consulté le 18 septembre)
  • Tugault, Frédérique (1986), dans Repère, le Panama (consulté le 18 septembre)
  • Mellander, Gustavo A., The United States in Panamanian Politics:The Intriguing Formative Years. Danville, Ill.: Interstate Publishers, 1971, OCLC 138568
  • Mellander, Gustavo A.; Nelly Maldonado Mellander (1999). Charles Edward Magoon: The Panama Years. Río Piedras, Puerto Rico: Editorial Plaza Mayor. ISBN 1-56328-155-4. OCLC 42970390.
  • François Trotet, Le Panama, Paris, Éditions Karthala, 1991. 189 p.
  • Interex, Présentation : Panama, consultée le 5 janvier 2011
  • Université de Laval [s.d]. Panama (consulté le 18 septembre)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]